Écrivain depuis le début de sa retraite, Alain GIRAUD-BALAYN comptabilise déjà deux livres à son actif. Après une carrière dans les Ressources Humaines, il décide de réaliser le rêve de ses vingt ans : écrire des romans ! Suite à l’écriture de son premier roman « Le rêve de Jésus sur la croix » (ni provocateur ni blasphématoire) en 2020, il collabore avec l’éditeur Maïa. Depuis, il poursuit sur cette voie, qui occupe très bien sa retraite. Et il publie son deuxième roman « Des Kerguelen à Gulliver » en 2022 dans lequel il cite notre société d’investissement en cheptel bovin.

Découvrons pourquoi il parle de nous dans ce livre captivant…


Investisseur depuis 14 ans et heureux propriétaire de vaches


Qu’est-ce qui vous plait le plus chez Élevage et Patrimoine ?

« Tout d’abord, je citerais l’originalité du placement, qui s’inscrit dans la liste courte des investissements en bien divers. Mais aussi, le soutien aux éleveurs partenaire et à l’agriculture française. Et évidemment, la rentabilité est intéressante. Alliant le rendement annuel et la défiscalisation, le produit final est bien supérieur à un livret A. Et en plus, on investit dans l’économie réelle. »

Combien de vaches possédez-vous ?

« J’en suis à 51 vaches ! C’est déjà un très beau nombre. Je dois dire que cela me plait. Depuis le début de mon investissement, j’ai choisi la capitalisation. C’est-à-dire que je réinvestis mon rendement annuel dans l’effectif du troupeau de bovins. Ainsi au fil des ans, le cheptel augmente, au même rythme que mes gains. » Il capitalise sur l’avenir et contribue à l’optimisation d’un cheptel bovin.

Comptez-vous agrandir votre cheptel ?

Pour l’instant, je laisse le croît augmenter chaque année mon cheptel. Je m’approche doucement mais surement du nombre de vaches d’un élevage laitier moyen.

En longeant les prés, il m’est déjà arrivé de compter ou d’estimer la taille des troupeaux de vaches rencontrés.

Quel est votre ressenti avec la société, êtes-vous satisfait de nos services ?

Cela se passe bien. On répond à nos questions. Par exemple, on reçoit les références des deux lignes à remplir pour sa déclaration d’impôts.


Pourquoi nous avoir choisi ?


Pourquoi parlez-vous d’Élevage et Patrimoine dans votre livre ?

Mon personnage principal possède des vaches : « il a investi une partie de ses économies pour en acquérir plusieurs à une entreprise spécialisée, qui les louent à des producteurs de lait qui n’ont pas les moyens pour en acheter. C’est un placement qui le ravit » GIRAUD-BALAYN (2022), Des Kerguelen à Gulliver, livre 1 (p.62).

Comment définiriez-vous l’entreprise ?

Le bien-être animal à un ordre d’importance capitale, tout comme l’attention porté à l’environnement.

Il y a plusieurs années, j’ai eu un appel d’une fonctionnaire des impôts qui ne comprenait pas à quoi correspondait Élevage et Patrimoine dans ma déclaration d’impôts. Je précise que j’habite à Paris dans le 19e. Lorsque je lui ai dit que j’étais possesseur de vaches, elle s’est mise à éclater de rire ! Elle s’est excusée. Cela la surprenait beaucoup qu’on puisse avoir des vaches tout en habitant Paris. Je lui ai expliqué le principe qu’elle a compris et validé.

Comment Élevage et Patrimoine vous-a-t-elle aidé à développer votre patrimoine ?

Je souhaitais diversifier mes investissements, « ne pas mettre tous les œufs dans le même panier ». Et inscrire ma démarche sur le long terme. Avec les conseils avisés d’Estelle Billon, directrice des opérations, je suis informé de l’évolution du marché et je bénéficie d’un bilan global personnalisé.

Finalement, auriez-vous quelques mots à dire aux futurs investisseurs qui hésitent à rejoindre l’aventure qu’Élevage et patrimoine propose ?

L’investissement comporte des risques mais il ne faut pas hésiter à se lancer ! On peut commencer par un nombre limité de vaches, deux ou trois pour commencer, le temps de voir et de se familiariser avec le concept, que l’on comprend mieux au bout des trois ans.


L’investissement en bien divers comporte des risques de perte totale ou partielle du capital investi et les performances passées ne préjugent pas des performances futures.